3 ans de démarches, appels et courriers
Rappel des faits:
La commission de réforme souhaite demander des précisions au second expert (pourtant très clair dans son rapport : maladie professionnelle reconnue avec 3% d'IPP). Mon dossier reste à surseoir.
J'attends donc une nouvelle convocation pour une troisième commission de réforme mais rien ne vient...
A bout de patience, je commence à téléphoner en mars : aucun interlocuteur ne décroche, je laisse des messages vocaux... Puis j'envoie ensuite des mails, restés sans réponse...
Comme la DRH 4 de l'Inspection fait la sourde oreille, je m'adresse par mail à la Commission de réforme par le biais du CIG. Mais je me trompe d'interlocuteur : eux s'occupent des fonctionnaires territoriaux!
Ils ont la politesse de me répondre eux au moins...
Je ne sais plus où m'adresser : au Rectorat, au nouveau Ministre de l'Education Nationale, au médiateur de la République?
Que faire?
J'appelle un syndicat le SE UNSA en leur précisant que je ne suis pas syndiquée et en leur racontant mon problème...
Hé bien, mon interlocuteur non seulement a pris le temps de m'écouter mais a cherché le n° de téléphone de M. R------- représentant de l'administration à la commission de réforme (présent le 19 janvier 2017 à la commission).
J'ai donc joint M.R------ par téléphone et mon dossier est effectivement en attente...
depuis quatre mois!!!!!!!!!
M.R-------souhaitait parler de vive voix à l'expert et ne lui a toujours pas envoyé de courrier. Le courrier va être enfin envoyé (parce que j'ai râlé) mais il n'y a pas de commission de réforme durant l'été et mon dossier ne sera donc pas réexaminé avant septembre ou octobre (sic!....)
C'est du grand n'importe quoi!!!!!!!
Tout est fait pour décourager le demandeur!
et puis, il ne faut pas être pressée...ça dure depuis 2014!
Je vais être retraitée avant que ma maladie professionnelle soit reconnue...
c'est bien triste tout ça !!!!!!!!!!Bon courage Cathy bisous <3
RépondreSupprimerMerci Odile ☺☺☺
SupprimerIl faut que je m'arme de patience...
je suis même pas étonnée
RépondreSupprimerj'ai vécu ça
je le vis encore
j'ai laissé tomber
trop faible pour agir
C'est la colère qui me pousse à agir...
SupprimerJ'aimerais pouvoir t'épauler!!
Bisous
c'est trop tard dans mon cas
Supprimermerci
je repasserai demain là tiens pas
SupprimerTu dois te reposer!
Supprimerordre du Dc N'Ours ☺☺☺☺
Je suis dans le même cas. Refus de reconnaissance de ma capsulite par la commission de réforme, pourtant bien handicapant au quotidien. Il y a de quoi être dégoûtée du manque de soutien dans notre metier.
RépondreSupprimerUne maladie peut également être reconnue d’origine professionnelle si elle répond aux critères suivants :
Supprimer- soit parce qu’elle figure dans un des tableaux de maladies professionnelles du code de la sécurité sociale sans que
toutes les conditions de prise en charge exigées par ces tableaux soient réunies, mais dont il est établi qu’elle est
directement causée par le travail habituel de la personne,
- soit, non désignée dans les tableaux, mais essentiellement et directement causée par le travail habituel de la
personne et qu’elle entraîne une incapacité d’un taux au moins égal à 25 %.
Je suis d'accord avec toi, bon courage pour la suite de tes démarches!
Le premier expert n'a pas reconnu la maladie professionnelle.
SupprimerLe second expert a reconnu la maladie professionnelle avec 3% d'incapacité permanente partielle IPP.
La commission de réforme souhaite demander des renseignements complémentaires : à savoir s'il existe un lien entre l'infirmité et le poste de travail.
Nous devons la sacro sainte bienveillance au monde entier, mais pour en recevoir...!!!! oO
RépondreSupprimerMais tu sais bien que nous "sommes toujours en vacances" May!!!!!!!
SupprimerMerci pour ton commentaire ☺☺
ps par contre félicitations au gars du SE
RépondreSupprimerOui Barbara, je lui ai dit que je le tiendrai au courant!!
SupprimerJe vais l'appeler et le remercier mardi. ☺☺
De tout coeur avec toi.
RépondreSupprimer¸¸.•*¨*• ☆
Merci Dame Célestine ♥
SupprimerJe vois que c'est la même chose en France qu'en Belgique. Je suppose que l'administration a des consignes pour que les demandeurs se découragent à cause du pourrissement de la situation...c'est honteux !
RépondreSupprimerCourage !
Merci Freesia ♥
SupprimerJe ne lâche rien...
C'est ce que l'on appelle laisser pourrir une situation dans l'espoir que le demandeur se désespère et abandonne le combat, ça n'existe pas que dans l'éducation nationale, les gens atteint de maladie professionnelle dans le privé rencontrent les mêmes difficultés, il fait se rendre à l'évidence, le personnel que ce soit dans le public ou le privé n'est pas mieux considéré qu'un objet de consommation, si il est détérioré on le jette, si il fonctionne encore un peu on va l'user jusqu'à la corde mais on ne fera pas de frais dessus.
RépondreSupprimerJ'espère qu'avec l'appui des syndicats tu vas enfin obtenir gain de cause, ça fait vraiment trop longtemps que cette affaire traine
Amicalement
Claude
Si rien n'est fait début octobre, je déclencherai les hostilités!!!!!!!
SupprimerEt j'aurai le temps puisque retraitée je serai...☺☺☺☺☺
J'aime beaucoup le commentaire de May ! On n'entend plus parler que de regard bienveillant, attitude bienveillante mais la récipropque n'est pas vraie, de loin pas ...
RépondreSupprimerGros bisous et bon dimanche.
LAVANDINE
Quand j'ai commencé ma carrière, les enseignants étaient non seulement respectés mais aussi estimés!!
SupprimerJ'étais écrivain public dans le village où j'enseignais...
Bon lundi et gros bisous
Décevant ! Bon courage, ma chère Cathy! ❤ ❤ ❤
RépondreSupprimerMerci ma belle! ☺☺☺☺☺☺☺☺☺☺
Supprimer